Le masque facial : les 6 vérités qu'on vous cache
Depuis le début de la pandémie, le masque est devenu le symbole parfait de la lutte face à cette maladie infectieuse. Qu'en est-il vraiment de l'efficacité de celui-ci ? Que disent les scientifiques et les études ? Est-il justifié dans la population en général, peu formée et inconsciente des protocoles ?
Voici, un aperçu des réponses que nous avons trouvées pour vous. Faites-vous votre propre idée et décidez si on devrait continuer à le préconiser ou si au contraire on ne devrait pas plutôt s'interroger sur sa fonction, si fonction il y a. Pour poursuivre votre découverte, trouvez à la fin des liens qu vous conduiront à la prochaine étape de votre découverte sur les vérités qu'on vous cache sur le masque et ses effets sur la santé mentale et les relations humaines .
SIX VÉRITÉS SUR LE MASQUE FACIAL
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DIMINUE L’APPORT EN OXYGÈNE
Respirer au travers d’un masque diminue la quantité d’oxygène nécessaire au bon fonctionnement du corps jusqu’à 20%. -
AUGMENTE L’INHALATION DE CO2
Le masque provoque l’inhalation des déchets que l’on expire et augmente la quantité de CO2 que l’on aspire en les concentrant dans le masque. -
AFFAIBLIT LE SYSTÈME IMMUNITAIRE
Avec moins d’oxygène et le surplus de CO2, il augmente le stress qui génère une émission de cortisol qui affaiblit le système. -
AUGMENTE LE RISQUE D’INFECTION
Le masque produit un environnement chaud et humide très propice à la multiplication des bactéries, virus et champignons qui s’y accumulent et que l’on respire à chaque inspiration. -
NE FILTRE PAS LES VIRUS
Le masque dont le filtre de 10 à 30 microns ne permet pas de filtrer les virus dont le diamètre n’est que de 0.02 à 0,04 microns, comme les coronavirus. -
N’A AUCUNE VALIDITÉ SCIENTIFIQUE
Aucune étude scientifique n’a jamais pu apporter la preuve que les masques de type chirurgical ou en tissu peuvent prévenir la contagion.
« Aucune étude ne montre les avantages d’une politique générale de port de masques en public. Pas l’ombre d’un bénéfice pour se protéger des infections virales respiratoires de type grippal, pas même une légère diminution du risque. »
- Pr. Denis Rancourt, Ex-professeur et chercheur Université d’Ottawa
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« Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes. Masquer la population aujourd'hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme.Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l'activité économique qui repose d'abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limite dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.» - François Ducrocq
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« Les masques pour la population générale ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être des 'nids à microbes' plus nuisibles qu’autre chose. » - Dr Sucharit Bhakdi
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"Priver le cerveau d'un enfant ou d'un adolescent d'oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d'oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés."
- Dr Margareta Griesz-Brisson, docteur en médecine, neurologue, neurophysiologiste et spécialiste en neurotoxicologie.
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"Les raisons de l’obligation [du masque - NDLR] peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappellant constamment la « pandémie, » la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime. [...]
Il empêche tout oubli et ne peut être refoulé. Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un éternel retour du traumatisme. " [1]
- Jean-Claude Paye
Références:
1) https://www.mondialisation.ca/coronavirus-ceci-nest-pas-un-masque/5655447